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Séraphine ferme ses portes : pourquoi la marque de maternité disparaît et quelles alternatives existent ?

La nouvelle a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans l’univers de la mode maternité : Séraphine, la célèbre marque britannique fondée par une française, a cessé son activité du jour au lendemain.
Connue pour avoir habillé Kate Middleton et de nombreuses célébrités, elle incarnait depuis plus de vingt ans une mode chic et accessible pour les futures mamans.

Mais derrière les vitrines et les photos glamour, c’est tout un modèle économique qui a vacillé.


Un symbole de la maternité moderne

Fondée au début des années 2000 par une Française à Londres, Séraphine s’était imposée comme une référence incontournable.
Ses vêtements de grossesse se voulaient à la fois tendance et abordables, avec une esthétique féminine et contemporaine.
Pendant longtemps, la marque a su séduire une clientèle internationale, en s’appuyant sur une stratégie bien huilée : campagnes d’influence, célébrités, production à grande échelle.

Vingt ans plus tard, la fondatrice décide de passer le flambeau, cédant l’entreprise à un fonds d’investissement.
Une nouvelle ère s’ouvre alors pour la marque mais les choix de gestion qui suivent s’éloignent peu à peu de l’ADN initial.

Non pas par négligence, mais sans doute par une vision trop court-termiste, centrée sur la rentabilité immédiate plutôt que sur la pérennité de la marque.

Résultats : en Juillet 2025, la marque a été placée en liquidation judiciaire, laissant de nombreuses clientes sans commande ni remboursement du jour au lendemain. Une fin brutale pour une enseigne emblématique, qui illustre les défis du secteur.

La limite du “fast maternity”

Comme beaucoup d’acteurs du prêt-à-porter, Séraphine avait fait le choix d’une production délocalisée afin de pouvoir faire une production de masse, probablement en Asie et ainsi maintenir des prix attractifs.

La hausse des coûts de production, la concurrence du e-commerce et un modèle de fabrication à bas coûts, ont fragilisé sa rentabilité.

Séraphine proposait des vêtements de maternité à prix abordables, mais son modèle “fast fashion” n’a pas résisté à la crise.
Les consommatrices se tournent désormais vers des marques plus transparentes, durables et éthiques.


Une évolution du marché de la mode maternité

La fermeture de Séraphine reflète un changement profond : les femmes enceintes recherchent aujourd’hui des vêtements de qualité, confortables, mais aussi responsables.

Elles veulent savoir où et comment leurs vêtements sont fabriqués.

Produire vite et loin ne suffit plus.

Les marques qui réussissent désormais sont celles qui valorisent la fabrication européenne, le savoir-faire artisanal et les matières naturelles.

 

36 Pièces : une alternative haut de gamme à Séraphine

Dans ce contexte, 36 Pièces s’impose comme une alternative éthique et haut de gamme à Séraphine.
La marque propose une mode maternité fabriquée au Portugal, dans des ateliers familiaux, avec une attention particulière portée à la coupe, au confort et à la durabilité.

Chaque vêtement est pensé pour accompagner la femme du premier mois de grossesse jusqu’au post-partum, avec une élégance intemporelle.

Loin de la production de masse, 36 Pièces défend une approche plus humaine et plus juste de la mode maternité : moins de quantités, mais plus de qualité, en petite série et en précommande pour éviter la surproduction.

Parce que la maternité mérite mieux qu’un effet de mode.
Elle mérite des vêtements à la hauteur de ce qu’elle représente : force, douceur et élégance.


Découvrir la collection 36 Pièces 
(Élaborée au Portugal, pensée pour durer.)